Archives par étiquette : donges

MAJ: HLM de la rue d’Aquitaine : Mieux Vivre à Donges des élus de terrains.

Suite à l’interpellation des élus « Mieux Vivre à Donges »,  Mikaël DELALANDE et Christine MISIN, par les locataires, à propos de l’entretien des deux tours HLM de la rue d’Aquitaine, le soutien des deux élus a permis de faire aboutir les demandes légitimes des habitants (voir les articles de la presse locale). Ainsi les augmentations de loyers seront plus raisonnables.

D’importants travaux d’isolation vont être enfin réalisés pour une maîtrise des dépenses d’énergie afin d’obtenir un gain de chaleur dans les appartements. Lors d’une réunion avec les résidents des travaux ont été annoncés : Continuer la lecture

Réaction des transporteurs à l’interdiction des poids lourds

Les élus « Mieux vivre à Donges » se sont  exprimés sur l’interdiction de circulation des véhicules de plus de 3.5 tonnes sur les RD773 et 4 entre Donges et Ste-Reine-de-Bretagne lors du conseil municipal, Presse Océan et Ouest-France publient la réaction des transporteurs sur le sujet.

ouest-france-logo-carre

du 31 décembre 2014

Route interdite, routiers remontés…

Le trajet de Loire-Atlantique Bretagne est rallongé. Les entreprises dénoncent le surcoût kilométrique et la perte de temps. Des camions qui circulent. Des riverains qui pestent. À force de banderoles, ils ont convaincu le conseil général de Loire-Atlantique d’intervenir. Voilà quelques jours son président, Philippe Grosvalet, leur a annoncé la nouvelle qu’ils attendaient. Les poids lourds sont désormais interdits sur la RD 773 qui va de Donges à Pontchâteau et la RD 4 entre Donges et Sainte-Renne-de-Bretagne. Sauf desserte locale, il leur faut emprunter la nationale et passer par Savenay. « Cela représente 16 km supplémentaires, 32 pour nombre de camions qui font des rotations », proteste Pierre Beaudouin, délégué régional du syndicat patronal FNTR des Pays-de-la-Loire. La colère des professionnels gronde en Loire-Atlantique, mais surtout en Bretagne très impactée par la mesure « Elle complique sérieusement les choses pour 500 camions », assure Pierre Beaudouin qui ne conteste pas l’existence de points noirs. « Des déviations, pas forcément très compliquées, auraient pu être réalisées, alors que cette décision tombe sans prévenir ». Le délégué régional de la FNTR met en garde sur les éventuelles conséquences : « cela risque de renchérir le transport des produits agricoles (soja), des voitures importées ou exportées à partir de Montoir-de-Bretagne, des pondéreux et de conteneurs. C’est un très mauvais coup pour le port de Nantes-Saint-Nazaire ». La profession a d’ores et déjà fait chauffer sa calculette pour mesurer la perte qu’elle estime à 4,8 millions d’euros. La FNTR vient d’adresser plusieurs lettres pour obtenir un rendez-vous : à Philippe Grosvalet : Au préfet des Pays-de-la-Loire et aux deux présidents des régions Bretagne et Pays de la Loire.  Thierry BALLU

du 24 novembre 2014

du 30 décembre 2014

Les transporteurs critiquent sa fermeture

Début décembre, le Conseil Général – après avoir eu l’accord de l’Etat – a décidé d’interdire la circulation des véhicules de plus de 3,5 tonnes sur les RD773 et 4 entre Donges et Ste-Reine-de-Bretagne. Ces camions seront déviés par la RN 171 entre Saint-Nazaire et Pontchâteau et par la RN 165 entre Savenay et Pontchâteau.

Pas de concertation

Ces nouvelles dispositions ne sont pas du goût des transporteurs routiers qui regrettent qu’il n’y ait pas eu « la moindre concertation préalable » et l’ont d’ailleurs exprimé le 18 décembre au vice-président du Conseil Général. Dans un communiqué, ils estiment que « cette interdiction impacterait l’économie des régions Bretagne et Pays de la Loire dans les échanges de marchandises entre le Grand Port Maritime de Nantes – Saint-Nazaire et le sud de la Bretagne, notamment pour le transport des produits agricoles, énergétiques, pondéreux, d’automobiles et de conteneurs. Autant de freins aux activités du port à un moment où notre territoire a besoin de valoriser sa façade maritime ».

Suspension demandée

La profession a estimé le coût de l’interdiction de la D773 à 4,8 M€ par an et prévoit une diminution des rotations journalières. Elle demande la suspension de cette interdiction le temps de la concertation. Elle a saisi le Préfet et les présidents des Conseils régionaux de Bretagne et des Pays de Loire. Cette interdiction de laisser les camions circuler sur ces deux routes départementales était une demande de riverains et d’élus locaux.


du 24 novembre 2014

du 24 novembre 2014

« Pour Donges l’impact est nul »

camionstadeÀ partir du mois de janvier, les poids lourds en transit ne pourront plus passer par la RD773, entre Donges et Pontchâteau, ni par la RD4 entre Donges et Sainte-Reine-de-Bretagne. Ils seront déviés par Savenay, via la RN171 et la RN165. « On peut se réjouir, qu’enfin ces mesures soient prises. Mais quels sont les impacts de la décision sur le territoire communal Dongeois, notamment pour la CD 100, route de Prinquiau à Donges ? Et quel impact sur la rue du Stade et sa noria de camions qui transportent des matières inflammables au cœur de la ville ? », a interrogé Mikaël Delalande (Mieux vivre à Donges) au cours du conseil municipal. « À aucun moment nous n’avons été associés à cette concertation avec le conseil général. Par conséquent la situation particulièrement dangereuse des camions citernes qui traversent notre ville est restée exactement la même. Pour Donges, l’impact est nul », regrette François Chéneau, le maire. Il constate que ces décisions qui prendront effet au début de l’année ne satisfont que Pontchâteau.

Sécurité: la délinquance inquiète les Dongeois

Sécurité: la délinquance inquiète les Dongeois

 
[20 décembre 2014 20 décembre 2014[/caption]

La recrudescence de la délinquance inquiète les Dongeois

A la fin du dernier conseil municipal, jeudi dernier, François Chéneau, maire de Donges, a tenu à faire une déclaration sur la sécurité et l’évolution de la délinquance.

 « L’évolution actuelle de la délinquance est inquiétante. Dans les derniers jours des cambriolages répétés dans les communes ont touché principalement les commerces des centres villes, mais également quelques particuliers », regrette le maire, qui a tenu à rencontrer les victimes inquiètes de la commune. Il a prévu prochainement un entretien avec un représentant de l’UCAID (Union des Commerçants, Artisans et Industriels de Donges).

 Sans attendre la municipalité a déjà provoqué une réunion rassemblant plusieurs élus, dont Jean-Luc Plancq, conseiller subdélégué à la police municipale, avec les policiers de Donges et un représentant de la gendarmerie de Montoir. Dans un premier temps, un renforcement de la présence de la gendarmerie sur Donges est prévu. « Nous allons aussi poursuivre la réflexion sur le déploiement de la vidéo projection, non seulement pour les bâtiments communaux, mais également sur quelques points névralgiques du centre-ville », ajoute François Chéneau. Il note que la commune est très étendue et que les quartiers ruraux « devront plutôt mettre en place des organisations, type voisins vigilants. Le tout dans le respect de la loi ».

 Mikaël Delalande, chef de file du groupe d’opposition Mieux Vivre à Donges a tenu à cette occasion, à rappeler les propositions faites sur le sujet pendant la dernière campagne électorale. « Je regrette les délais d’intervention très élevés liés à la réorganisation de la gendarmerie, ayant conduit à un regroupement à Montoir, en fermant la gendarmerie de Donges », déplore-t-il. Il se dit disposé à réfléchir aux mesures à prendre avec la majorité, au sein de la commission sécurité. « La sécurité pour tous doit être une priorité. Nous serons une force de proposition avec un objectif qui doit être axé sur la prévention mais aussi sur la fermeté ». Le maire a conclu en notant le paradoxe d’un « État qui se retire pour des raisons financières, alors que la sécurité des biens et des personnes fait partie intégrale de ses missions régaliennes »Ouest France, 20 décembre 2014

La vidéo protection renforcée

22 décembre 2014

22 décembre 2014

Ces derniers mois les statistiques de la délinquance progressent. La ville de Donges est la cible de faits délictueux qui inquiètent les élus. En fin de séance du conseil municipal, François Chéneau, le maire (divers droite), constate notamment que les cambriolages des magasins (Carrefour express dernier en date) récemment et des habitations des particuliers se multiplient.

« Ces faits sont perpétrés par des malfrats étrangers à la commune. Nous avons rencontré les victimes et provoqué des rencontres avec les élus et les gendarmes. Les rondes de gendarmerie vont se multiplier. Nous allons renforcer la vidéo-protection en centre-ville. Et en concertation avec la gendarmerie, nous allons susciter l’émergence de l’initiative Voisins vigilants avec les riverains des quartiers ruraux », annonce-t-il. Pour Mikaël Delalande, de la liste Mieux Vivre à Donges, qui se dit prêt à débattre de ces questions en commission sécurité, « la réorganisation des territoires gendarmerie ne permet plus d’identifier les responsabilités en matière de force de l’ordre. Cette situation alimente le sentiment d’insécurité ».

Compilation: Presse du Conseil Municipal du 18 décembre 2014

Echoguerande1

du 26 décembre 2014

 

Dernier conseil municipal de l’année.

 Au menu, énergie, sécurité et patinoire.

mairieEP

Le Maire veut renforcer les caméras en centre-ville

L’opposition “Mieux Vivre à Donges” a tiré la sonnette d’alarme: ”La demande de crédit supplémentaire de dépenses d’énergie de 45 000€ vient s’ajouter au poste de charge d’énergie s’élevant déjà à 350 000 €. Nous arrivons en fin d’année avec une augmentation de 13%. Il est urgent de mettre en place une politique d’économie d’énergie. Si rien n’est fait, nous pouvons craindre un nouveau dérapage des finances.” Pour le maire, la solution n’est pas si simple : “pour réduire le coût énergétique il faut prendre en compte les études de consommation d’énergie et prévoir des investissements sur plusieurs années. Pour la municipalité, un début de solution est envisagé dans l’achat groupé de certaines énergies mais ce n’est pas possible pour toutes”.Le budget énergétique va augmenter. Continuer la lecture

Compte rendu du Conseil Municipal du 18 décembre 2014

salle du conseil3

« On ne peut pas parler que de la dette sans faire des économies ».

Compte rendu du dernier conseil avec les points les plus importants. En fin de réunion, le Maire a fait une intervention sur la sécurité, au regard de l’actualité. Seul notre groupe à débattu avec le maire sur cette question!

Finance

Christine Misin est intervenue sur les délibérations du budget supplémentaire pour évoquer les augmentations importantes sur les énergies pour un montant de 45 000 € supplémentaires aux 350 000€ déjà inscrits, soit une augmentation de 13%. L’élue regrette que cette ligne budgétaire ne soit pas mieux maîtrisée, les économies d’énergies étant primordiales. Les frais de maintenance augmentent également de 17%. La prime d’assurance passe à 52 000 € et les fournitures administratives à 68 000€. La commune étant endettée la maîtrise du fonctionnement est devenue vitale. « On ne peut pas parler que de la dette sans faire des économies ».

Sécurité

carrefour donges

C’est le rôle de l’État de protéger les Français

Suite au discours important du maire sur la sécurité faisant référence à l’actualité des braquages d’épicerie de quartier, Mikaël DELALANDE est intervenu pour rappeler le programme de « Mieux Vivre à Donges » et  déclarer que c’est le rôle de l’État de protéger les Français. Les communes peuvent mener des actions de prévention. L’élu a fait référence au « rapport parlementaire sur la politique de prévention de délinquance ». Il a également évoqué la réorganisation territoriale de la gendarmerie avec la réforme Sarkozy des années 2000 et la baisse des moyens d’action. Il propose de confronter ses propositions en commission « sécurité » avec la majorité.

Concernant l’avis sur le PPRT de Montoir, les élus « MVD » ont fait la déclaration suivante :

yara

« c’est une abstention de principe basé sur l’iniquité de traitement du législateur »

« Après lecture de l’exposé, le contraste avec le PPRT de Donges est flagrant !

La concentration d’entreprise engendre un risque très élevé, mais la législation s’est adaptée aux contextes locaux, ce qui est possible à Montoir, pour l’état, n’est pas possible à Donges, ce qui prouve bien que la législation peut être adaptée aux spécificités de chaque site industriel. Les demandes de moratoires de révisions de la loi, au vu des constats faits sur le terrain, sont donc justifiées aux regards de cette forme d’adaptation de la loi. Dans votre proposition d’avis, nous n’avons pas exactement les prescriptions requises pour le confinement, quelles seront les contraintes pour les Dongeois ? À noter l’absurdité des périmètres, les lieux-dits de Blanche et le Priory avec une obligation de confinement et pas Tréveneux, c’est comme le nuage de Tchernobyl, le nuage toxique s’arrêtera sur le trait du cercle ! Un avis favorable a été émis, vu de Montoir, mais vu de Donges, nous nous abstenons, c’est une abstention de principe basé sur l’iniquité de traitement du législateur et non sur les arguments des élus de Montoir. Votre choix d’un avis favorable, basé sur les intérêts économiques est tout à fait louable, cohérent avec votre positionnement à la CARENE, mais peut être compris comme une contradiction à Donges ».

Question diverse des élus de notre groupe sur la déviation des camions près du village de ER

La décision du conseil général est prise sans la concertation des élus dongeois

Si les élus « MVD » se félicitent que la problématique du carrefour de ER soit prise en compte, ils ont interrogé le maire.

« À partir du mois de janvier, les poids lourds en transit ne pourront plus passer par la RD773, entre Donges et Pontchâteau, ni par la RD4 entre Donges et Sainte-Reine-de-Bretagne. Ils seront déviés par Savenay, via la RN171 et la RN165. Cette information a été transmise par la presse lors d’une conférence à la mairie de Pontchâteau. Nous souhaiterions savoir si la décision du conseil général de Loire-Atlantique a fait l’objet d’une concertation ? Quels sont les impacts de la décision sur le territoire communal pour la CD 100, route de Prinquiau à Donges ? L’impact sur la rue du Stade ? Quel est l’avis de la municipalité ? »

Le Maire a répondu que la décision du conseil général est prise sans la concertation des élus dongeois et que la décision n’apporte rien de concret pour améliorer la sécurité sur les routes départementales présentes sur notre commune.

Les élus « Mieux vivre à Donges » condamnent le saccage de l’école de la Pommeraye.

pommerayesaccage

saccage de l’école de la Pommeraye.

Les élus « Mieux vivre à Donges » condamnent le saccage de l’école de la Pommeraye. Nous adressons un message de soutien et de sympathie aux personnels de l’école et aux enseignants. Face à cette délinquance, nous espérons que les forces de police pourront identifier les auteurs. Les bâtiments font souvent l’objet de visites, de vols et dégradations, des mesures de sécurité et une politique de fermeté s’imposent.

presseocean23102014Presseoceanlogo

23/10/2014

OF du 28/06/2014- Le Trésor public confirme la très mauvaise situation financière

ouest-france-logo-carreEn raison de son fort endettement, Donges a été inscrite dans le réseau d’alerte des communes menacées par le surendettement et mise sous surveillance de la Direction des Finances publiques. La trésorerie de Montoir, dont dépend la commune, a fait parvenir son analyse financière détaillée pour la période 2011-2013. Elle confirme que la situation financière de Donges est fortement dégradée, principalement en raison d’importantes dépenses d’équipement réalisées sur les trois dernières années (représentant 12,7 M€, dont 6 M€ sur la seule année 2013), dépenses ayant nécessité de faire 8,3 M€ d’emprunts. La commune est actuellement juste capable de faire face aux échéances de remboursement de sa dette et ne dispose quasiment plus de ressources pour financer de nouveaux projets d’équipement. « Début 2014, la situation de Donges s’est profondément dégradée en matière de trésorerie, plaçant la commune au bord de la rupture », ajoute le rapport.

L’endettement est passé de 5,4 M€, fin 2010, à 12,1 M€, fin 2013. Cela représente 16,3 années de capacité de désendettement (si la commune décidait d’y consacrer l’intégralité de ses ressources disponibles), sachant que pour la moyenne des communes du département, elle est de 3,7 années, que le seuil d’alerte est fixé à 12 ans et le seuil critique à 15 ans. Cette situation entraîne un remboursement en 2014 de 855 000 € de capital, et de 500 000 € d’intérêts financiers.

Il convient de noter qu’en juillet 2011, après analyse de l’exercice 2010, la trésorerie de Montoir avait alerté le municipe sur son endettement important, justifiant déjà l’inscription de Donges dans le réseau d’alerte. Il semble qu’en 2011, les élus d’opposition et certains élus de la majorité n’aient pas eu communication de ce rapport.

En conséquence, François Chéneau doit prochainement être convoqué par le préfet pour expliquer les raisons de cette situation, et présenter la manière dont il compte en sortir. La commune doit se désendetter. Elle ne souhaite augmenter les impôts qu’en dernier recours et ne dispose d’aucune marge de manoeuvre. La rigueur est impérative et seules les dépenses essentielles seront engagées dans les années à venir. Dans un objectif de transparence, le rapport de la trésorerie de Montoir sera accessible sur le site internet de la ville et consultable au secrétariat général de la mairie.

Les groupes d’opposition réagissent à l’analyse du Trésor public

Jean-Marc Nicollet regrette « cette situation très préoccupante » et les conséquences directes qu’elles entraînent. Il se préoccupe en particulier des associations pour savoir « à quelle date les subventions seront versées » et reçoit en réponse que les mandatements sont en cours.

Alain Chazal, ancien premier adjoint en charge des finances pendant la période concernée, « ne souhaite pas commenter le rapport de Montoir, estimant qu’il en dispose depuis trop peu de temps ».

Mikaël Delalande et Christine Misin, élus de l’ancienne majorité dont ils se sont désolidarisés, constatent que « les chiffres qu’ils annonçaient pendant la campagne électorale étaient confirmés, alors qu’ils s’étaient fait traiter d’alarmistes. » Ils demandent pourquoi les « ratios cités au conseil municipal de février 2014 (11 années d’endettement) étaient discordants avec ceux du rapport du même mois du cabinet conseil Klopfer (16 années) ». Ils veulent savoir « à qui a été diffusé le rapport de 2011 de la trésorerie de Montoir, dont ils n’avaient pas connaissance ». Ils demandent « quelle était l’affectation de l’emprunt de 1.5 M€ fait en décembre 2013 ». Ils déplorent « le manque de maîtrise des finances, la banalisation du risque d’endettement et l’absence de respect des deniers publics », ajoutant qu’« être de gauche n’empêche pas d’être gestionnaire ».

Source Ouest-France ; version pour impression: ouestfrancedu28062014