Archives de catégorie : Presse

Les élus « Mieux vivre à Donges » condamnent le saccage de l’école de la Pommeraye.

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saccage de l’école de la Pommeraye.

Les élus « Mieux vivre à Donges » condamnent le saccage de l’école de la Pommeraye. Nous adressons un message de soutien et de sympathie aux personnels de l’école et aux enseignants. Face à cette délinquance, nous espérons que les forces de police pourront identifier les auteurs. Les bâtiments font souvent l’objet de visites, de vols et dégradations, des mesures de sécurité et une politique de fermeté s’imposent.

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23/10/2014

MAJ: Un local décent pour le secours populaire (enfin…)

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7 rue des Herlains, bientôt un nouveau local pour le secours populaire

Le secours populaire dispose d’un petit local de 18 m² dans le presbytère de la ville qui n’est pas adapté pour le travail des bénévoles pour la remise des aides alimentaires ni pour l’accueil du public qui devait attendre à l’extérieur quelles que soient la météo. En outre la confidentialité était mise à mal. Le programme Mieux Vivre à Donges proposait de reloger cette association caritative dans des locaux décents et proposait un partenariat pour créer une « boutique sociale ». Ayant la volonté de trouver une solution pour le secours populaire les élus Mieux Vivre à Donges ont voté une délibération pour solliciter une subvention de la réserve parlementaire que le sénateur Yannick VAUGRENARD a retenu pour un projet d’aménagement de locaux pour le stockage et la distribution des aides du secours populaire pour un montant de 13 771€. Avec les fonds la municipalité va aménager les anciens locaux du service des espaces verts situé au 7 bis rue des Herlains pour une superficie de 95 m². Nous sommes satisfaits de la solution proposée. Nous remercions le sénateur Yannick VAUGRENARD pour son soutien sur ce projet et nous invitons nos lecteurs à lire son rapport parlementaire sur la pauvreté disponible ici.

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Nouveau local pour le secours populairedu 16 octobre 2014

Presse du Conseil Municipal du 25 septembre 2014

La majoritouest-france-logo-carreé municipale se réorganise

Lors de la mise en place de la nouvelle équipe municipale, en avril 2014, Martine Ardeois avait pris la fonction de premier adjoint en charge des affaires scolaires, des affaires sociales, de la solidarité, du logement et de la petite enfance. Elle siégeait également au conseil communautaire de la Carene. Ce cumul de fonction a généré une surcharge d’activité pour l’élue concernée qui, afin de permettre une réorganisation, a démissionné de son poste de premier adjoint en juin, tout en restant membre du conseil. De fait, les autres adjoints gagnent un rang dans l’ordre protocolaire et Louis Ouisse, en charge de l’urbanisme, de l’environnement, du cadre de vie, de l’agriculture, des travaux et du patrimoine prend le poste de premier adjoint. Martine Ardeois sera à l’avenir remplacée au conseil communautaire par Sandrine Salmon, déjà en charge du personnel communal et des relations humaines, tandis que la délégation aux affaires sociales sera confiée par arrêté à Marie-Andrée Picot, adjointe au commerce, à l’artisanat, à l’administration générale et aux relations publiques. Pour compléter cette réorganisation partielle, le conseil municipal a décidé d’élire Martine Ardeois en qualité de huitième adjoint en charge exclusivement des affaires scolaires. Ouest-france du 27/09/2014

PresseoceanlogoPresse Océan du 27 septembre

presseocean27092014

MAJ: Presse: Mieux vivre à Donges réagit sur la sécurité routière.

ouest-france-logo-carreLes élus de Mieux vivre à Donges souhaitent réagir à la suite de la réunion de concertation entre la municipalité et les associations de riverains et les services du département, pour évoquer les problèmes de sécurité sur le carrefour de Hélé sur la RD773. (OF du 8 septembre).

«Nous nous interrogeons sur l’efficience des propositions du conseil général sur les travaux proposés et ne pouvons, nous contenter d’une installation de plots et de peinture de revêtement pour raisons de budgets » affirme Mikaël Delalande, chef de file des élus d’opposition de Mieux vivre à Donges. Reconnaissant une « petite avancée en matière de sécurité sur le nord de la commune, il considère, avec sa colistière Christine Misin, « que le dossier majeur pour la sécurité des Dongeois reste le passage des poids lourds, et en particulier des transports de matières dangereuses, par la ruestadecamion du Stade et sur la route de Prinquiau ». 

Ils demandent donc la réouverture des négociations entre le conseil général et le port autonome, afin de reprendre l’étude d’un itinéraire de contournement « pour la sécurité des riverains de l’agglomération et des villages ». « La sécurité sur les routes départementales de la commune doit être prise en compte dans sa globalité, conclut Mikaël Delalande.                                                                                 Ouest-France 10/09/2014

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Presseocean10092014du 19/09/2014

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Trafic routier sur la RD773 “Mieux vivre à Donges” demande des aménagements.

ruedustadeechoUne rencontre entre la municipalité, des associations de riverains et le Département s’est tenue pour évoquer la sécurité au carrefour de Hélé sur la RD 773, reliant Donges à Pontchâteau. Les élus d’oppositions « Mieux vivre à Donges » représentés par Mikaël Delalande s’interroge sur “l’efficience des propositions du Conseil général notamment l’installation de plots et de peinture de revêtement”. Ils demandent au Département de reprendre les négociations avec le Grand port maritime “pour la sécurité des riverains de l’agglomération et des villages”. Chaque jour, 500 camions transportant des matières dangereuses transitent par Donges, notamment via la rue du Stade. Le problème n’est pas nouveau et revient régulièrement à la table des discussions, entre PPRT et contournement de la voie ferrée qui elle traverse la raffinerie. Les Dongeois ont à plusieurs reprises exprimé leur exaspération et leur crainte d’un accident gravissime. Un temps, une déviation du trafic vers le CD100, la voie portuaire, a été évoquée sans aboutir. Les habitants de la RD773 montent aussi régulièrement au créneau pour dénoncer la dangerosité de cette route.  Echo de la presqu’île du 12/09/2014

Communiqué de Presse des élus Mieux vivre à Donges

rue du stade 2Suite à la rencontre de la municipalité et certaines associations de riverains avec les services du département pour évoquer les problématiques de sécurité sur le carrefour de « Hélé » sur la RD 773, les élus « Mieux vivre à Donges » s’interrogent sur l’efficience des propositions du Conseil Général sur les travaux proposés et ne peuvent se contenter d’une installation de plots et de peinture de revêtement pour raisons de budgets. Reconnaissant une petite avancée sur le Nord de la commune, il reste un dossier majeur pour la sécurité des Dongeois sur la départementale D4 traversant la rue du stade, sans oublier la départementale D100 sur la route de Prinquiau. Les élus « Mieux vivre à Donges » sont très vigilants sur les questions de sécurité et demandent la reprise des négociations par le Conseil Général et le port autonome pour la sécurité des riverains de l’agglomération et des villages. La sécurité sur les routes départementales sur notre commune doit être prise en compte dans sa globalité. Mikaël Delalande et Christine Misin

70ème Anniversaire des bombardements de Donges

P1000559bisA l’occasion du 70ème Anniversaire des bombardements de Donges, la municipalité a déposé une gerbe ce matin en souvenirs des victimes. La ville a été entièrement détruite les 24 et 25 juillet 1944. François CHENEAU, après la minute de silence a fait un bref rappel historique des évènements et a souligné la solidarité des dongeois pour traverser la tragédie. Notre groupe, Mieux vivre à Donges salue l’initiative du Maire et regrette l’absence des autres groupes.

Extrait du discours du maire Armand de Gramont lors du Conseil municipal d’octobre 44

« Messieurs, en ce beau dimanche d’été où nous sommes réunis la dernière fois, le sort de Donges paraissait encore très enviable pour toute la région nazairienne. La guerre rôdait et brutalement dans la nuit qui suivit ce beau dimanche, elle s’abattait sur la cité dongeoise. Avec une sauvagerie non encore égalée, elle faisait de la plus fortunée, la plus infortunée des communes de la région. En quelques instants, la cité et ses faubourgs n’étaient plus que décombres : églises, presbytère, mairie, hospice, croulaient sous un orage de bombes, notre cimetière était dévasté…nos morts, nos chères morts étaient arrachés à ce que nous croyons être leur dernière demeure…leurs cadavres mis à nus. Je n’ai pas voulu reparler de cette tragédie présente à toutes les mémoires, que pour rendre un hommage ému et pieux à ses victimes ; leur nombre fut malheureusement faible, en regard à l’étendu et à l’intensité des bombardements, mais malheureusement trop élevé pour nous et surtout pour les familles éplorées auxquelles j’adresse nos respectueuses condoléances. Je veux aussi remercier tous ceux qui à un titre quelconque ont contribué au sauvetage des sinistrés, le docteur Jégat, M. Fontalba, pharmacien et premier adjoint qui furent les premiers sur les lieux……enfin tous ceux qui donnèrent asile à nos concitoyens sans abri ou qui abandonnant leurs travaux se consacrèrent pendant plusieurs jours au déménagement du mobilier des sinistrés ou de ce qui en restait. Devant ces ruines et ces perspectives macabres, je ne viens donc pas, Messieurs vous parler de reconstruction et vous soumettre un projet d’aménagement de la cité nouvelle……ce seront des œuvres de paix de mon successeur…… »

ouest-france-logo-carreArticle de Ouest-France du 26 juillet. Dans la nuit du 24 juillet 1944, des centaines de bombes sont larguées par des avions de la Royal Air Force (anglaise) sur les raffineries et sur le bourg de Donges, dont les premières maisons sont distantes d’à peine 200 mètres. Pourtant, les raffineries ne représentent pas une cible prioritaire, n’étant plus en activité depuis 1940, faute d’approvisionnement en pétrole brut en raison du blocus… Lire la suite

Echo de la presqu’île du 4 juillet – Trop de dettes, Trop de charges, trop de dépenses…

Finances : « Au bord de la rupture »

Le rapport  de la direction des finances publiques est sévère. Il pointe une situation plus que tendue au point d’être au niveau d’alerte.

Echoguerande1« La situation est dégradée en matière de trésorerie et place la commune au bord de la rupture », tels sont les termes du rapport de la direction des finances publiques pour qualifier Donges sur la période 2011 – 2013. Elle pointe un trop fort endettement (1714€ par habitant contre une moyenne de 799€) de fortes charges et d’importantes dépenses. La capacité d’autofinancement a fondu comme neige au soleil. Déjà en 2011, un rapport du cabinet parisien Koffler exprimait des craintes. Le nombre d’année d’autofinancement pour rembourser la dette était évalué à 11 ans, il est maintenant à 16,3 années. « La moyenne départementale est de 3 ans et 8 mois », note le maire François CHENEAU. Autre constat : en 3 ans, la dette a doublé. Toujours d’après le rapport « sur les trois dernières années, la commune a réalisé un montant de dépense d’équipement de 12,7 millions d’euros dont 6 millions l’ont été en 2013 ». Cérémonies, fêtes, salle de la Pommeraye, aménagement autour de l’école, dépenses énergétiques sont ciblées.

« Rembourser la dette »

Face à la situation, le maire l’affirme : « la priorité, c’est le remboursement de la dette ». La nouvelle équipe municipale est résolue à « ne pas faire d’emprunts supplémentaires le plus longtemps possible » et à ne pas augmenter les impôts ; « il serait irresponsable de chercher des solutions par l’impôt ». Alors que dans l’opposition, Mikaël DELALANDE exprime « un fort sentiment d’amertume et de désillusion », faisant allusion aux ratios annoncés à 11 au lieu de 16 années à la fin de l’ancien municipe, l’ancien premier adjoint Alain Chazal déclare «qu’il préfère étudier plus longuement le rapport avant de faire des commentaires ». Le Maire doit rencontrer les services de la préfecture pour exposer son plan de bataille.

Rythmes scolaires : pas de changement

Ce bilan a évidemment de lourdes conséquences financières. Quand Viviane Albert aborde le sujet des rythmes scolaires et demande quelles sont les nouvelles propositions, on lui répond « qu’il n’y aura pas de grands changements à la rentrée. Nous nous orientons, pour des raisons financières et budgétaires sur le maintien des horaires ». La nouvelle municipalité aurait en effet préféré déplacer les temps d’activités périscolaires (TAP) en fin d’après-midi. « Mais cette mesure nécessaire un aménagement important de personnels. Les conditions financières ne le permettent pas », ajoute François CHENEAU. Toujours sur le plan scolaire, constatant que des parents viennent systématiquement chercher leurs enfants après 16h30 (la garde est gratuite de 16h à 16h30), la municipalité a décidé qu’après cet horaire, les enfants seraient envoyés à l’OSCD et paieraient une amende forfaitaire de 5€ par demi-heure.

Questions du public

A l’issue de la séance du conseil municipal, le public a la possibilité de poser des questions aux élus à conditions qu’elles aient été posées en mairie 24 heures auparavant.

site de l’écho de la presqu’île

OF du 28/06/2014- Le Trésor public confirme la très mauvaise situation financière

ouest-france-logo-carreEn raison de son fort endettement, Donges a été inscrite dans le réseau d’alerte des communes menacées par le surendettement et mise sous surveillance de la Direction des Finances publiques. La trésorerie de Montoir, dont dépend la commune, a fait parvenir son analyse financière détaillée pour la période 2011-2013. Elle confirme que la situation financière de Donges est fortement dégradée, principalement en raison d’importantes dépenses d’équipement réalisées sur les trois dernières années (représentant 12,7 M€, dont 6 M€ sur la seule année 2013), dépenses ayant nécessité de faire 8,3 M€ d’emprunts. La commune est actuellement juste capable de faire face aux échéances de remboursement de sa dette et ne dispose quasiment plus de ressources pour financer de nouveaux projets d’équipement. « Début 2014, la situation de Donges s’est profondément dégradée en matière de trésorerie, plaçant la commune au bord de la rupture », ajoute le rapport.

L’endettement est passé de 5,4 M€, fin 2010, à 12,1 M€, fin 2013. Cela représente 16,3 années de capacité de désendettement (si la commune décidait d’y consacrer l’intégralité de ses ressources disponibles), sachant que pour la moyenne des communes du département, elle est de 3,7 années, que le seuil d’alerte est fixé à 12 ans et le seuil critique à 15 ans. Cette situation entraîne un remboursement en 2014 de 855 000 € de capital, et de 500 000 € d’intérêts financiers.

Il convient de noter qu’en juillet 2011, après analyse de l’exercice 2010, la trésorerie de Montoir avait alerté le municipe sur son endettement important, justifiant déjà l’inscription de Donges dans le réseau d’alerte. Il semble qu’en 2011, les élus d’opposition et certains élus de la majorité n’aient pas eu communication de ce rapport.

En conséquence, François Chéneau doit prochainement être convoqué par le préfet pour expliquer les raisons de cette situation, et présenter la manière dont il compte en sortir. La commune doit se désendetter. Elle ne souhaite augmenter les impôts qu’en dernier recours et ne dispose d’aucune marge de manoeuvre. La rigueur est impérative et seules les dépenses essentielles seront engagées dans les années à venir. Dans un objectif de transparence, le rapport de la trésorerie de Montoir sera accessible sur le site internet de la ville et consultable au secrétariat général de la mairie.

Les groupes d’opposition réagissent à l’analyse du Trésor public

Jean-Marc Nicollet regrette « cette situation très préoccupante » et les conséquences directes qu’elles entraînent. Il se préoccupe en particulier des associations pour savoir « à quelle date les subventions seront versées » et reçoit en réponse que les mandatements sont en cours.

Alain Chazal, ancien premier adjoint en charge des finances pendant la période concernée, « ne souhaite pas commenter le rapport de Montoir, estimant qu’il en dispose depuis trop peu de temps ».

Mikaël Delalande et Christine Misin, élus de l’ancienne majorité dont ils se sont désolidarisés, constatent que « les chiffres qu’ils annonçaient pendant la campagne électorale étaient confirmés, alors qu’ils s’étaient fait traiter d’alarmistes. » Ils demandent pourquoi les « ratios cités au conseil municipal de février 2014 (11 années d’endettement) étaient discordants avec ceux du rapport du même mois du cabinet conseil Klopfer (16 années) ». Ils veulent savoir « à qui a été diffusé le rapport de 2011 de la trésorerie de Montoir, dont ils n’avaient pas connaissance ». Ils demandent « quelle était l’affectation de l’emprunt de 1.5 M€ fait en décembre 2013 ». Ils déplorent « le manque de maîtrise des finances, la banalisation du risque d’endettement et l’absence de respect des deniers publics », ajoutant qu’« être de gauche n’empêche pas d’être gestionnaire ».

Source Ouest-France ; version pour impression: ouestfrancedu28062014

Journal Ouest-France du 30/04/2014 Le conseil municipal vote le budget primitif 2014

Le conseil municipal vote le budget primitif 2014

Le conseil municipal a voté le budget primitif 2014. Il s’agit d’un budget de transition, voté seulement trois semaines après l’installation du nouveau municipe, prenant en compte les nombreux engagements déjà pris par l’équipe sortante. Compte tenu de la fragilité de la situation financière de la commune, il s’agit d’un budget sans emprunt, se donnant pour priorité d’amorcer le désendettement. Le budget primitif voté prévoit de consacrer 10 573 620 € (stable) au fonctionnement de la commune, tandis que 1 784 225 € (contre 3 544 100 € en 2013) permettront d’assurer la continuité des investissements.

Budget de fonctionnement

Le premier poste des dépenses fonctionnelles concerne les charges de personnel, pour un peu plus de la moitié de l’enveloppe (+ 2,07 %). Les charges à caractère général augmentent faiblement (+ 0.34 %). En revanche, les charges financières augmentent très fortement : 497 100 € (+ 22.86 %), en raison du nouvel emprunt de 1.5 millions d’euros, contracté en décembre 2013 pour 15 ans.

Budget d’investissement

Sur les 1 784 225 € du budget d’investissement, la charge financière de 878 315 € concerne en majorité les remboursements d’emprunts (854 700 €). Les 905 910 € restants sont consacrés aux équipements, dépenses limitées à l’essentiel : frais de modification du Plan local d’urbanisme liés au PPRT (malgré le recours déposé au tribunal administratif), réorganisation de la restauration scolaire, voirie (effacement de réseaux aériens, finition de la place Armand-Morvan), étude contournement ferroviaire, mise à niveau des matériels (sportifs, informatiques, véhicules, outillage) et amélioration des bâtiments publics (école, alarme anti-intrusion de la mairie, salle omnisports, surveillance vidéo)…

Les 3 groupes d’opposition se sont abstenus pour des motifs différents. Une partie de l’équipe sortante défendait son bilan par la voix de Viviane Albert., tandis que Jean-Marc Nicollet souhaitait, avec un esprit constructif, attendre le prochain budget élaboré par la nouvelle majorité pour se prononcer. Mikaël Delalande s’est abstenu pour les mêmes raisons, en confirmant son intention à l’avenir de se prononcer sur les décisions municipales en fonction de la cohérence des projets avec ce qu’il avait proposé pendant sa campagne.

Source ouest-france