Archives de catégorie : Presse

Départementales – résultats du deuxième tour

graphique 2eme tour

 

xxtableau 2eme tour

les résultats du canton ici

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du 3 avril 2015

Le maire de Saint-Nazaire a eu beau se satisfaire que “Saint- Nazaire ne sera jamais le Henin Beaumont que vous souhaitez”, s’adressant aux militants frontistes, Jean-Claude Blanchard, malgré sa défaire, n’en démordait pas dimanche soir : “c’est une grande victoire”. Avec ses 31,68 % sur le canton 2, le Front national a encore gagné des voix, 868 très exactement, alors que bon nombre de candidats en lice au premier tour avaient appelé à faire barrage au parti de Marine Le Pen. Si à Saint-Nazaire, le tandem FN n’a pas dépassé 26 %, dans les autres communes du canton, il a allègrement franchi la barre des 30 % (à Bellevue Montoir, il est à 40 voix du PS), pour frôler les 40 % (38,18 %) à Donges.

“Donges souffre aussi de la crise” “On est surpris. On n’a pas d’explications véritablement locales. C’est un vote de rejet de la politique actuelle. Mais bon, Donges reste majoritairement à gauche”, se rassure Alain Chazal, ancien premier adjoint de la municipalité de gauche.

Le socialiste, Mikaël Delalande reste perplexe. Ce résultat qui ne peut s’analyser finement est le fruit de la perte de repères et de confiance de citoyens d’horizons très différents. Si on peut comprendre le désespoir des électeurs sur l’avenir, sur les réformes qui ne portent pas des résultats concrets sur le quotidien, il faut aller à la rencontre de ceux qui perdent espoir, sans stigmatiser les électeurs qui ont succombé à un vote qu’ils pensent contestataires”.

Le nouveau maire François Chéneau lui aussi tente de comprendre. “Pendant la campagne, le FN n’a pas eu le champ libre. Ils ont été présents à Donges mais la gauche aussi”. Il avance toutefois quelques pistes :”Le Front national profite de l’effondrement du communisme briéron. Là où il était très présent, le FN a récupéré des voix ”.

François Chéneau observe que Donges n’échappe pas au phénomène national : “plus on s’éloigne des villes, plus on vote Front national. A la Pommeraie, en campagne, le FN a fait plus de 40 %. Pareil pour l’est de la commune”. Le sentiment d’insécurité ? “Pas vraiment. On a eu des problèmes mais la gendarmerie a renforcé ses patrouilles. C’est plus de l’insécurité économique et sociale. Donges souffre aussi de la crise et le FN s’est engouffré dans ce sentiment de précarisation avec leur discours antimondialiste. Cela en a séduit certains”.

 

Donges, commune gravement surendettée

du 13 mars 2015

De par sa situation budgétaire, la commune est dans les radars de surveillance de l’État. Explications. « On a été à deux doigts de la rupture…  » François Chéneau, maire (divers droite) de Donges, l’assure : son arrivée à la tête de la commune, en mars dernier, n’a pas été une sinécure. « On savait que la situation budgétaire était sinistrée, on n’a pas été déçu. » La ville a sur les bras deux emprunts toxiques (soit 3,8 M€ de capital restant dû) qu’elle souhaite solder au plus vite. « On a déposé des dossiers fin 2014 auprès du fonds de soutien créé par l’État afin d’obtenir une prise en charge partielle des coûts de sortie de ces prêts. » Les indemnités de résiliation anticipée sont estimées à 640 000 €. « Même si ces emprunts se comportent bien actuellement car ils ne sont pas indexés sur le franc suisse, tout nous pousse à en sortir, énonce le maire. La préfecture nous recommande une telle option. À terme, « on laisserait encore des plumes. «  Ironie de l’histoire : ce qui plombe les finances de la ville, pointe François Chéneau, c’est le volume des prêts, alourdi par les derniers emprunts à taux fixe contractés en 2012 et 2013 pour financer la construction d’une école maternelle de dix classes. Le projet, soutient le maire, était « démesuré ». De fait, la commune est « surendettée ». Son budget est de 10 M€. La dette a flambé et atteint 12,1 M€. Situation qui vaut à la collectivité d’être inscrite dans le réseau d’alerte de la Direction générale des finances publiques. « On a un ratio de surendettement de 15 ans. » Impôts : pause fragile. Les élus ont décidé de faire une pause en matière de hausse des impôts locaux en 2014. « On s’est engagé à n’augmenter les taux qu’en dernier recours. Mais on ne tiendra pas tout le mandat sans les toucher », prévient encore François Chéneau, qui a décidé de calquer son programme sur cet adage : « Quand on n’a pas les moyens de sa politique, on a la politique de ses moyens ».

Compilation: Presse du Conseil Municipal du 18 décembre 2014

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du 26 décembre 2014

 

Dernier conseil municipal de l’année.

 Au menu, énergie, sécurité et patinoire.

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Le Maire veut renforcer les caméras en centre-ville

L’opposition “Mieux Vivre à Donges” a tiré la sonnette d’alarme: ”La demande de crédit supplémentaire de dépenses d’énergie de 45 000€ vient s’ajouter au poste de charge d’énergie s’élevant déjà à 350 000 €. Nous arrivons en fin d’année avec une augmentation de 13%. Il est urgent de mettre en place une politique d’économie d’énergie. Si rien n’est fait, nous pouvons craindre un nouveau dérapage des finances.” Pour le maire, la solution n’est pas si simple : “pour réduire le coût énergétique il faut prendre en compte les études de consommation d’énergie et prévoir des investissements sur plusieurs années. Pour la municipalité, un début de solution est envisagé dans l’achat groupé de certaines énergies mais ce n’est pas possible pour toutes”.Le budget énergétique va augmenter. Continuer la lecture

Ouest-France: Question de Christine Misin sur les ressources humaines

Les ressources humaines en question au dernier conseil

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du 26/11/2014

Christine Misin s’est interrogée sur la définition des missions et le coût d’un cabinet conseil accompagnant la commune sur des questions de ressources humaines. L’ancien Directeur général (DGS) des services ayant quitté Donges pour une autre collectivité, la première mission du cabinet Urfin consiste à intervenir dans la procédure de recrutement de son remplaçant, pour trier les nombreuses candidatures, présélectionner les candidats à recevoir et éclairer la décision finale. « Le forfait de cette mission (4 689 €) est couvert par l’économie de salaire faite en l’absence de DGS, pendant les quelques mois nécessaires au recrutement », a précisé François Chéneau, en notant, qu’une fois la décision prise en décembre, le postulant devrait avoir une période de préavis à effectuer avant de rallier Donges. La seconde mission concerne la réorganisation des services. Le forfait initial de 3 807 € est déjà prolongé de 5 jours pour un coût supplémentaire de 1 269 €/jour. Cette réorganisation vient d’un constat : « L’organisation actuelle conserve des traces d’organisations diverses ayant eu leur raison d’être, mais maintenues alors que le besoin avait évolué ». Le maire perçoit également le besoin de « restaurer la confiance dans la gestion du personnel »François Chéneau assure que « tout le personnel sera conservé, mais qu’il y aura quelques changements de poste ou modification de tâches à accomplir ». L’objectif, en « diminuant le cloisonnement pour plus de transversalité », est d’être plus fiable, plus adaptable et plus réactif en « adaptant les moyens au besoin afin d’offrir un meilleur service à la population ». Le coût de cette mission est couvert par les économies réalisées sur les prestations auparavant versées à un cabinet conseil, dont la mission est maintenant assurée par la trésorerie de Montoir. François Chéneau présentera les résultats de l’étude aux instances représentatives du personnel et aux élus. Si Christine Misin a accepté la première mission (recrutement DGS), elle a déploré que « le coût exorbitant de la seconde, dont la durée ne lui semble pas clairement estimée, mais réserve son jugement définitif à la réception des études, dans la mesure où la transparence voulue par la majorité reste d’actualité »Claudine Moriclet a déploré, à cette occasion, que « la commission des ressources humaines ne se soit toujours pas réunie ».

Suite: presse du 25 novembre 2014

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du 25/11/2014

 

 

Polémique au conseil

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« Pour Christine Misin « la situation financière de la ville n’autorise pas les sommes exorbitantes engagées pour l’intervenant »

La décision du maire de Donges de faire appel au cabinet Urfin pour aider au recrutement du futur directeur général des services, faire un diagnostic sur l’actuel organigramme des services municipaux et faire des propositions de réorganisation, interpelle les élus de la minorité Mieux vivre à Donges. Au moment des questions diverses, Christine Misin a mis les pieds dans le plat. À la question de la durée et du coût global de ces prestations, le maire a répondu qu’il s’élèvera à plus de 12 000 €. « Et il pourrait encore être prolongé en cas de besoin, à l’aide de bons de commande. La ville en a les moyens », ajoute le maire. « Nous déplorons que la durée de la mission ne soit pas clairement estimée. À raison de 1 500 € par jour, nous considérons que les sommes engagées pour l’intervenant sont exorbitantes, mais nous gardons notre jugement à la réception des études, à condition que la transparence voulue par la majorité reste d’actualité », répond l’élue Christine Misin. Dans la foulée, François Chéneau annonce l’arrivée du DGS avant la fin de l’année

 

 

Presse du Conseil Municipal du 21 novembre 2014

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du 24 novembre 2014

PPRT : la mairie se désengage du financement des travaux

Le conseil municipal, réuni vendredi 21 novembre, a décidé de se désengager totalement du financement des travaux devant être prescrits par le PPRT (Plan de prévention des risques technologiques) pour les immeubles à usages d’habitation.

Donges n’est pas obligée

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Antargaz est l’un des trois sites générateurs de risques à l’origine du Plan de prévention des risques techonologiques. Archives Ouest-France

Pour mémoire, le 16 mai 2013, l’ancien conseil municipal de Donges avait approuvé le principe d’engager financièrement la commune pour participer au financement de ces travaux. Mais une loi du 16 juillet 2013 a modifié le code de l’Environnement en précisant que les exploitants des installations à l’origine des risques et les collectivités territoriales (Régions, Département, Carene) qui perçoivent la CET (Contribution économique territoriale) participent aux diagnostics et aux travaux prescrits pour les particuliers, ce qui n’est pas le cas de Donges. La commune n’est donc pas tenue juridiquement de contribuer au financement de ces travaux de renforcement prescrits. De plus, la loi du 16 juillet 2013 garantit aux collectivités percevant la CET une compensation intégrale de leur participation aux travaux par le biais de la DGF (Dotation globale de fonctionnement), compensation à laquelle la ville ne pourrait donc pas prétendre. Cette contribution volontaire est d’autant moins envisageable que la situation financière de la commune reste tendue et qu’il serait particulièrement injuste de pénaliser les contribuables qui subissent déjà les conséquences du PPRT (dépréciation du foncier, dégradation de l’image de la ville, etc…). Un recours contentieux au tribunal administratif.Par ailleurs la mairie étant contre le PPRT sous sa forme actuelle, a adressé au tribunal administratif un recours contentieux contre l’arrêté approuvant ce PPRT. François Chéneau souligne l’incohérence du PPRT qui tend à se réduire à un accompagnement financier pour les particuliers (financement dont les entreprises sont exclues), exprimant un doute sur l’utilité des travaux prescrits et estimant que le PPRT « protège plus les services de l’État et l’industriel que les riverains ». Il constate également que certains PPRT, comme celui de Montoir (site industriel important), seront allégés, et s’étonne qu’un amendement récent offre la possibilité aux entreprises riveraines des sites Seveso d’ignorer en partie la loi Bachelot et les PPRT, en mettant en place des solutions alternatives. Pour toutes ces raisons, le municipe ne participera à aucun financement de travaux en lien avec le PPRT.

L’avis des oppositions sur le désengagement

Sans surprise, dans la continuité de son mandat précédent, Jean-Marc Nicollet a approuvé pleinement cette décision de désengagement financier. Viviane Albert et Mikaël Delalande, qui avaient approuvé le principe de la participation financière dans l’ancien municipe, s’interrogent sur cette décision et s’abstiennent. Viviane Albert s’étonne tout d’abord que « les entreprises et les particuliers ne soient pas traités de la même manière », puis demande si « la couverture du coût des travaux sera tout de même assurée à 100 % ». François Chéneau explique que le PARI (Programme d’accompagnement aux risques industriels) se met en place avec les financements prévus par la loi (État, Industriels et collectivités percevant la CET) et que Région, Département et Carene devraient participer à hauteur de 25 % (pourcentage initialement envisagé pour la Carene et Donges à raison de deux-tiers et un-tiers), mais précise que rien n’est encore signé.

Divergences sur l’aspect financier

Mikaël Delalande conçoit que Donges ne participe pas financièrement, puisque ne percevant pas la CET, la ville ne recevrait pas de compensation, et estime qu’il s’agit d’une bonne chose pour les finances en berne. Il rappelle qu’en 2013, il avait demandé aux parlementaires « l’abrogation, la suspension, la révision ou l’assouplissement de la loi Bachelot » et regrette qu’elle soit restée dans son cadre initial. Il demande « qu’en cas d’application stricto sensu, les Dongeois dans l’obligation de réaliser des travaux soient soutenus sur le plan financier ». Il constate que c’est sur l’aspect financier que ses idées divergent, estimant que « la stratégie de la majorité peut être gagnante, mais dangereuse, car sans filet en cas d’échec ». Il demande également si la prise en charge initialement envisagée à 100 % est toujours d’actualité et s’interroge sur la position de la Carene et les propositions de l’industriel. Mikaël Delalande espère que, « si la loi n’évolue pas et si l’arrêté du préfet est maintenu, aucun Dongeois ne restera sur la touche ». En conclusion, il interprète le désengagement financier de la majorité comme « un désengagement politique, allant bien au-delà des questions budgétaires de la ville ».

du 24 novembre 2014

du 24 novembre 2014

La ville ne paiera pas

Une nouvelle loi votée en juillet concernant l’éventuelle participation des collectivités au financement des diagnostics et travaux de renforcement du bâti des habitations incluses dans le périmètre du Plan de prévention des risques technologiques (PPRT) exonère désormais la commune. La non-perception de la contribution économique territoriale (ex-taxe professionnelle) justifie cette exonération. Si cette délibération du conseil a semblé satisfaire François Chéneau, le maire arguant d’une « situation financière tendue et d’une ancienne mesure injuste pour le contribuable dongeois », les élus de gauche ont une approche différente de la question. « Vous avez des engagements de campagne concernant la loi, vous serez jugé aux actes, nous espérons que si la loi n’évolue pas, aucun Dongeois ne restera sur la touche. La rédaction de la proposition étant un désengagement total du financement, nous l’interprétons comme un désengagement politique, bien au-delà des questions budgétaires de la ville, c’est pourquoi nous nous abstiendrons », a notamment déclaré Mikaël Delalande.

 

HLM de la rue d’Aquitaine: Mikaël DELALANDE monte au créneau

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Echo de la presqu’ile du 21 novembre 2014

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Presse Océan du 14/11/2014

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Communiqué MVD : Ouest-France 13/11/2014

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Mieux vivre à Donges interpelle la Silène et le maire

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Les loyers des logements sociaux de la rue d’Aquitaine risquent d’augmenter brutalement à l’issue d’une rénovation de grande ampleur.

L’Office public de l’habitat, Silène, devenant communautaire, Mieux vivre à Donges interpelle le maire de la commune, en tant que vice-président de la Carene, sur l’entretien des logements sociaux de la rue d’Aquitaine. « Mieux vivre à Donges soutient les démarches des Dongeois logés en HLM, en étant exigeant auprès des bailleurs sociaux pour l’entretien du parc locatif et les loyers proposés », expliquent Mikaël Delalande et Christine Misin, élus d’opposition défendant des valeurs de gauche. Lors d’une rencontre avec les résidents de la rue d’Aquitaine, ils ont pu constater que les locataires étaient confrontés au mauvais entretien de leur immeuble par la Silène. « Nous leur apportons notre soutien pour que cet immeuble fasse l’objet de travaux sans répercussion sur les loyers, à l’exemple de la Chesnaie à Saint-Nazaire », assurent les deux élus dongeois, en découvrant que ces logements sociaux n’ont fait l’objet d’aucuns travaux depuis leurs créations, en 1976, soit près de 40 ans. La rénovation envisagée aujourd’hui a un coût prévisionnel de 1,6 million € ! Elle concerne des remplacements de sols, des remplacements de menuiseries extérieures avec double vitrage (primordiale au regard de la déperdition de chaleur dans les appartements), la rénovation des halls et des parties communes, la sécurisation des accès aux caves, le remplacement des portes, l’isolation extérieure des façades, la réfection des espaces extérieurs avec accessibilité des personnes à mobilité réduites aux entrées, la réorganisation de la répurgation (proposition de poubelles enterrée par la carène). « La proposition du bailleur social d’augmenter les loyers de 20 % a presque 30 % est insupportable au regard du pouvoir d’achat qui diminue d’année en année », s’offusquent les deux élus scandalisés de Mieux vivre à Donges, estimant que les locataires dongeois « méritent d’être défendus afin d’obtenir des logements de qualités, avec des normes d’isolations acceptables, comme pratiqué sur d’autres communes, et cela sans répercussion sur les loyers ».

Communiqué: les élus « Mieux vivre à Donges » soutiennent les résidents de la rue d’aquitaine

aquitaineLe programme mieux vivre à Donges soutenait les démarches des Dongeois logés en HLM en étant « exigeant auprès des bailleurs sociaux concernant l’entretien du parc locatif » ainsi qu’une exigence sur les loyers proposés. Lors d’une rencontre avec les résidents de la rue d’aquitaine confrontés à un mauvais entretien de leur immeuble par la silène, nous leur apportons notre soutien. L’Office public de l’habitat, Silène, devenant communautaire, nous interpellons le maire de Donges, vice-président de la carene pour que cette immeuble face l’objet de travaux sans répercussion sur les loyers, à l’exemple de la Chesnaie à Saint-Nazaire.

Les logements sociaux de la rue d’aquitaine n’ayant pas fait l’objet de travaux, depuis leurs créations, en 1976, la rénovation proposée aujourd’hui a un coût prévisionnel de 1 600 000 €  HT par :

  • Des remplacements de sols,
  • Des remplacements des menuiseries extérieures avec double vitrage, ce qui primordiale au regard de la déperdition de la chaleur dans les appartements,
  • Des rénovations des halls et de parties communes
  • La sécurisation des accès aux caves, remplacement des portes,
  • L’isolation extérieure des façades,
  • La réfection des espaces extérieurs avec accessibilité PMR aux entrées,
  • La réorganisation de la répurgation (proposition de poubelles enterrée par la carène).

La proposition du bailleur social d’augmenter les loyers de 20% a presque 30%, sont insupportables au regard du pouvoir d’achat qui diminue d’année en année. Les locataires dongeois méritent d’être défendus pour obtenir des logements de qualités, avec des normes d’isolations acceptables, comme pratiqué sur d’autres communes sans répercussion sur les loyers.

Mikaël DELALANDE, Christine Misin

Abonnement à la lettre des élus « MVD »

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